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Affichage des articles associés au libellé culture

Un livre sur l'économie du cinéma aux éditions Armand Colin

Confronté à l’emprise du système télé-audiovisuel et à la concurrence renouvelée de la production américaine, le cinéma français, qui a pourtant de nombreux atouts, semble structurellement marqué par la vulnérabilité. Économie du cinéma offre un cadre conceptuel pour étudier le jeu des acteurs en présence et pour analyser les options, les déploiements et les conditions de mise en œuvre de leurs stratégies. La nouvelle édition de cet ouvrage de référence permet de mieux comprendre le fonctionnement de la filière cinématographique et de tracer ses principales perspectives dans une période de transformation qui affecte tant les techniques et les usages que les modalités de création et de diffusion. Commander Economie du cinéma: Perspectives stratégiques sur LYFtv (livraison par Amazon.fr)- A lire dans la même collection : Les séries télévisées - L'avenir du cinéma ?  et Shanghai / Hongkong, villes de cinéma (Cinéma / Arts Visuels)  .  A découvrir :

Fondation Jacques Cartier : Québec et Rhône-Alpes renforcent leur coopération

Depuis de nombreuses années, le Québec et la Région Rhône-Alpes entretiennent des relations privilégiées dans le cadre de la coopération décentralisée. Depuis 1989, l’agence régionale de développement économique ERAI (Entreprise Rhône- Alpes International) est installée à Montréal. Celle-ci a récemment signé une entente avec le Ministère du Développement économique, de l’innovation et de l’exportation du Québec pour aider les entreprises rhônalpines et québécoises à s’implanter à l’international. La Région Rhône-Alpes, en 1994, est la première à signer un Plan d’action avec la Délégation  générale du Québec.  Jean-Jack Queyranne, Président de la Région Rhône-Alpes et Michel  Robitaille, Délégué Général du Québec en France, ont ainsi signé le 12 septembre 2011 à l’Hôtel de Région un nouveau Plan d’action Rhône-Alpes – Québec qui "court" sur quatre ans (2011 – 2014). Les thématiques prioritaires ont été définies autour des échanges universitaires, économiques, sociaux, éduca

Les retombées économiques de la Fête des Lumières

L'adjointe au Maire de Lyon responsable des grands évènements Najat Vallaud-Belkacem a organisé, à quelques jours de l'édition 2009, un point presse sur l'économie de la fête des lumières. Jean-Michel Daclin , chargé des relations internationales de la ville et président du réseau des villes Lumières (LUCI) l'accompagnait pour mettre en valeur les retours sur cet investissement, très "rentable" pour le Grand Lyon. Un coût de 2,5M€ financé pour la moitié par le secteur privé Contrairement à ce que l'on pourrait imaginer, le poste le plus important de la fête est loin d'être l'électricité ! Compte tenu de l'utilisation des techniques les plus sophistiquées et des recherches sur les LED, la facture des quatre jours d'illuminations ne devrait pas dépasser... les 4000 € ! Mais les illuminations représentent aussi de gros investissements, l'accueil de délégations de plus de quarante villes françaises ou étrangères, un dîner de gala

Entrepreneur de spectacles : la licence est obligatoire

Une licence d’entrepreneur de spectacles est obligatoire pour tout responsable de structure, qu’elle soit privée ou publique, à but lucratif ou non. Pour obtenir cette licence, il faut que l’activité habituelle soit la production de spectacles et que la structure emploie au moins un artiste rémunéré : exploitant de lieux de spectacles aménagés pour les représentations publiques, producteur ou diffuseur de spectacles, ou entrepreneur de tournées. La licence, qui est personnelle et incessible , est accordée, pour une période de 3 ans renouvelables, par le préfet au représentant légal ou statutaire de la structure exploitant le lieu, diffusant ou produisant le spectacle. Elle doit être demandée auprès de la Direction régionale des affaires culturelles (DRAC). Une fiche pratique détaille sur le site du Centre National de la Danse ( format PDF ) la réglementation de la licence, les conditions d’obtention et la procédure d’attribution.

Bocuse renforce son alliance internationale

Le 26 février dernier, l’Institut Paul Bocuse a organisé la troisième réunion des Directeurs des écoles et universités membres de son Alliance Mondiale.  L’occasion d’officialiser ainsi, l’entrée de trois nouveaux partenaires : la Colombie, le Chili et le Mexique , venus rejoindre les représentants du Brésil, Canada, Etats-Unis, Finlande, Grèce, Japon, Pérou, Singapour et Taïwan . Douze écoles à travers le monde Créée en 2004, l’Institut Paul Bocuse Worldwide Alliance constitue aujourd’hui un réseau international fort de 12 écoles et universités à travers le monde. "Promouvoir ensemble le savoir-faire de la gastronomie française et valoriser la diversité du patrimoine culinaire, tels sont, selon l'institut Paul Bocuse, les enjeux majeurs de cette initiative pédagogique inédite et originale, où chaque partenaire est en interaction avec l’ensemble des membres du réseau". De mai à septembre prochain, la Worldwide Alliance accueillera à l’Institut Paul Bocuse pour la

"L'épopée bioindustrielle" Mérieux continue avec le rachat d' une société américaine

La société de diagnostic AviaraDx, que Biomérieux vient de racheter aux Etats-Unis pour 60 Millions de dollars, compte 19 employés et est spécialisée en biologie moléculaire. L' entreprise américaine AviaraDx de Recherche et Développement aide les oncologues et autres spécialistes des cancers à élaborer leur stratégie thérapeutique. Selon la presse économique, BioMérieux prévoirait de changer le nom d'AviaraDx pour bioTheranostics. Mérieux, un nom associé au patrimoine "bio-industriel" lyonnais Le nom de Mérieux est désormais associé à l' histoire "bio industrielle et médicale" très riche de la ville de Lyon. Aujourd' hui scindé en plusieurs groupes (BioMérieux, Mérial, Sanofi-Pasteur) le groupe est toujours largement implanté dans le Grand Lyon (St-Priest, Lyon-Gerland, Marcy l' Etoile...). Une épopée familiale qui vient de donner lieu à l' ouverture d' un musée Né d' une initiative du grand père Marcel Mérieux,

Biennale des lions : le résultat de la vente aux enchères

L' organisateur de la Biennale des Lions, Mohamed Attia, avait choisi la date anniversaire de la naissance de la ville de Québec (fondée le 3 juillet 1608) pour organiser la vente aux enchères des 30 sculptures de lions et 39 d’ours polaires, réalisés par des artistes du monde entier. Voici le résultat de la vente aux enchères - pour chacune des oeuvres, le nom et la nationalité de l' artiste, le lieu où il était exposé et le montant atteint par l' enchère ; On peut retrouver les photos correspondantes à ces oeuvres sur le site de LYonenFrance en faisant une recherche par le nom de l' artiste (colonne de droite). Biennale : la vente aux enchères 1 Robert Stalport France Le Progrès – La Confluence 5200 Euros 2 Françoise Guichard France Hôtel 23 Cours Charlemagne – Lyon 2e 5200 Euros 3 Stéphanie Chalut Québec 5200 Euros 4 Sylvain Jas France 5000 Euros 5 Gilles Sorlin France Archives Municipales 5200 Euros 6 Alain Pouillet France Gare SNCF Lyon Perrache 5000 E

Madame Begum, de la Grameen Bank, invitée vedette des Dialogues en Humanité

On aurait tord de voir dans les Dialogues en Humanité organisés au Parc de la tête d' or ( voir article dans LYonenFrance ) de simples rencontres intellectuelles, un brin fumeuses. L' une des invitées vedettes, cette année, était Nurjahan Begum, la directrice générale de la Grameen Bank, dite aussi "banque des pauvres", qui a révolutionné l' accès au crédit dans les pays du tiers monde. La Grameen est maintenant considérée comme un modèle, y compris dans les pays les plus riches de la planète, comme la France, où se développe par exemple l' ADIE. L'initiative a obtenu le Prix Nobel de la Paix en 2006. Un prêt de 27 dollars à un groupe de 42 femmes Fondé par un économiste indien, Muhammad Yunus en 1976, le programme Grameen a débuté par un prêt de 27 dollars de cet homme à un groupe de quarante-deux femmes d'un petit village du Bangladesh, pour développer une "microactivité" . Véritable succès, la banque travaille aujourd’hui dans p

Au temps de "Laurent le magnifique", une exposition du musée des tissus de Lyon

A Lyon, le commerce textile et la vente des tissus ont toujours eu une place de choix dans l' activité économique. C' est pour celà que le très beau Musée des Tissus, situé rue de la Charité, est géré par la Chambre de Commerce et d' Industrie. La première édition d'une longue série d' expositions à venir est consacrée aux textiles italiens de la Renaissance, de la fin du XIVe siècle aux années 1640. De Lucques à Florence, de Venise à Gènes, l'industrie de la soie italienne fournissait alors l'Europe entière en velours de soie et d'or, en riches damas et en lampas somptueux. Les grandes familles de Lucques ont peu à peu rayonné dans toute l' Europe L' exposition laisse une large place aux productions de Lucques. Cette ville est devenue, au cours des XIVe et XVe siècles, un centre important de création textile de très haut niveau. Ses réalisations, très appréciées par les familles royales, les ecclésiastiques et la noblesse de toute l'Eur